COVID-19, FAUT IL POSITIVER ?
Au 23 avril 2020 on dénombrait sur Terre plus de 2,6 millions de cas de Covid-19 confirmés par PCR, plus de 180 000 décès et 4 milliards de confinés.
En France, l’épidémie semble marquer le pas et l’étau se desserre un peu sur les services de réanimation, probablement en partie grâce au confinement. Mais l’on déplore déjà plus de 21 000 morts. A quoi va ont consacrer les cruciales semaines à venir? . Malgré les incertitudes médicales et épidémiologiques, on s’occupera à la préparation d’un déconfinement nécessairement progressif et prudent. Pour cette nouvelle étape on ne peut qu’espérer un sans-faute des autorités et de la population tout entière, tout en étant sûr de celui des soignants.
Durant ces deux derniers mois la connaissance clinique et biologique de la maladie covid-19 s’est affinée jour après jour. Nous avons découvert, à côté de ses manifestations pulmonaires, ses formes neurologiques, cardiaques, vasculaires, dermatologiques ou digestives. On en connait plus sur sa physiopathologie malgré de multiples zones d’ombre. Nous en distinguons mieux les facteurs de risque de gravité. De multiples essais thérapeutiques ont été entrepris dans le monde. Sans toutefois que nous entrevoyons encore, au bout du tunnel, la pénicilline du Covid-19.
Depuis le début de l’épidémie, le JIM a mobilisé toutes ses équipes pour suivre en temps réel l’évolution de la pandémie.Nous vous faisons savoir ce qui se fait d’important dans le monde pour la juguler. Tout en tentant d’éclairer votre opinion sur l’organisation des soins et la meilleure stratégie à adopter pour vos patients, la gestion de l’épidémie et de ses conséquences et en ouvrant largement nos colonnes à vos commentaires.



